No bra depuis un mois

No bra depuis un mois

Quasi un mois que j’ai quitté le soutien.
Quasi un mois que j’ai quitté le maintien.
Quasi un mois que j’ai quitté l’enveloppe.
Quasi un mois que j’ai quitté le contenant.
Quasi un mois que je retrouve des sensations oubliées.
Quasi un mois que je découvre des sensations agréables.

Quand tu te loves dans les plis de mon t-shirt,
Quand tu chatouilles doucement l’intériorité de mon chandail
Quand tu sors ta p’tite tête pour manifester ta joie, ton froid ou ton mécontentement
Quand tu tombes à merveille dans la dentelle de mon dessous nocturne.

Je pensais que tu pendais, je réalise que tu es juste épanoui.
Je pensais que tu étais flasque, je réalise que ta forme varie.
Je pensais que je devais te cacher, je réalise que je veux te montrer.

Je pensais que t’étais trop gros pour t’affranchir de la coque.
Je pensais que j’aurai des problèmes en te montrant.
Je pensais un peu trop en fait.

Merci d’être là. Simple. Brut. Toi-même.

A mon néné droit.
A mon néné gauche.

With Love from Kolo

Amour, gloire et beauté

Amour, gloire et beauté

Yo,
Vu que je te parle d’amour à tout bout de champ.
Je voudrais juste te préciser ce que c’est pour moi l’amour. En tout cas, récemment ce qui est sûr c’est que je me suis pris la claque du bisounours. Ouais parce que les bisoubisounours, bah j’ai réalisé que c’était supra violent. Ils sont bien JC ceux-là (JC pour les intimes c’est judéo-chrétiens). Oui JC en mode y a qu’une seule polarité dans le monde, dans chaque être humain et c’est l’Amour avec un grand A. Sauf qu’en fait si tu penses comme ça bah juste tu nies une bonne part de toi et du coup elle ressortira forcément un jour et potentiellement par contre pas du tout comme tu le voulais!!

Alors WORK IN PROGRESS mais voilà mon premier jet de ma définition à moi de l’amour. Et bisous. Parce que oui c’est pas parce que je suis pas bisounours que j’aime pas les bisous, les câlins, la contemplation d’une libellule aux ailes bleutées qui se pose sur un caillou blanc.

A tchao bye.

j’ai compris que l’amour c’est de l’exigence. C’est l’exigence que je m’offre et que j’offre à l’autre. L’exigence de regarder les choses en face, de s’y confronter, de ne plus fuir le conflit pour être plus violente plus tard mais de faire le choix d’arrêter de me raconter des histoires sur ce que je suis ou ce que j’ai fait, sur ce que l’autre est ou ce qu’il a fait, d’appeler un chat un chat, de ne pas trembler pour nommer les choses peu agréables à aborder.

j’ai compris que l’amour c’est du bonheur. C’est le bonheur que je m’offre et que j’offre à l’autre. le bonheur de partager un regard, un silence, un sourire. le bonheur de se comprendre dans le silence, le bonheur d’aimer l’autre et de se sentir aimé, le bonheur de contempler l’eau claire d’une rivière dans un sous-bois clairsemé de rayons de soleil ressourçants, le bonheur de faire silence simplement en moi pour écouter mon horloge interne, le bonheur d’avoir reconnu que j’étais déjà là et que je pouvais arrêter de me chercher

j’ai compris que l’amour c’est de la puissance. C’est la puissance que je m’offre et que j’offre à l’autre. la puissance d’affirmer à chaque instant qui je suis, la puissance de faire le choix de sortir de ma prison plutôt que de la nettoyer, la puissance de récupérer mon libre arbitre d’humain en cultivant la fraîcheur de l’instant à chaque nouvelle expérience de vie, la puissance de sentir tant de vivant chez moi, la puissance d’envisager avec joie l’impossible, la puissance de sortir de l’étiquette, la puissance de l’harmonie de toutes mes facettes, la puissance de construire mon chemin, la puissance de construire notre chemin ensemble.

j’ai compris que l’amour c’est la vie. C’est le vivant que j’accepte de ressentir dans toute son intensité et que j’offre à l’autre.

With Love from Kolo

Être mère ou ne pas être

Être mère ou ne pas être

Il y a 8 ans, le 24 juillet 2011, je perdais mon premier bébé.
wouah déjà. J’ai l’impression que cette petite âme est partie hier.

Je me rappelle très précisément de toutes les sensations que j’ai expérimenté lors de cette journée du 23 juillet alors que tu nous avais sans doute déjà quitté et que ton corps physique restant cherchait à se frayer un chemin vers la sortie, à quitter ce triangle féminin si douillet.

C’est fou quand même que tu aies choisi d’initier ta sortie le jour de la fête d’anniversaire des 60 ans de ma maman, ta grand-mère. C’est fou, oui. 

Je suis passée de la sensation d’être mère à la sensation d’être vide. De la sensation de sens à la sensation d’inutilité. De la sensation de joie et fierté à la sensation de tristesse et de honte. 

J’ai rêvé et souhaité très fort qu’ils m’euthanasient à l’hôpital quand je suis allée confirmer ce que je savais déjà : ton départ. Et non, ils ne m’ont pas euthanasié. Je suis repartie avec ton papa et ta tante sans voix, sans corps, les yeux hagards, le ventre tuméfié.

Ton départ a été une nouvelle occasion de me confronter à moi-même, aux questions profondes et existentielles que j’ai toujours fui ou que j’affrontais uniquement dans le drame et le fantasme d’une séparation terrestre.

Une nouvelle fois, je n’ai pas réussi à plonger dans l’intensité de ce que je ressentais. Il m’a fallu rapidement trouver une béquille pour éviter de traverser l’intense, traverser le vrai.

Alors vite, au lieu de, au lieu…
Et bien j’ai trouvé de quoi éviter une nouvelle fois ma question profonde.
J’ai couru vers une question de surface pour éviter.
Alors j’ai surinvesti.
J’ai surinvesti.
J’ai surinvesti.
J’ai surinvesti ma maternité.
Et j’ai conclu : Être mère ou ne pas être.
Un beau cocktail pour éviter de vivre ma vie, ma putain de vie.
Ne pas être : la mort
Être mère : la vie
La vie sans être mère : la mort
Maîtriser la vie : personne ne sait faire

Et pendant ce temps là à Veracruz : Kolo ne vit pas, elle survit.
Chaque mois, elle pleure dans sa rivière rouge.
Oui, j’ai beaucoup pleuré et mon bas-ventre aussi.
Pleuré à attendre, espérer, fantasmé la vie rêvée où je serai mère.

Puis les mois deviennent des années et mon corps dysfonctionne à hauteur de l’intensité que je refuse de traverser pour vivre et non survivre. Je frôle le syndrôme OPK. Je suis en déficit d’hormones. Je développe toutes sortes de symptômes. Je suis à côté de moi.

J’ai créé mon nouveau système pour éviter de vivre ma putain de vie.
Vivre sans être mère n’est pas possible. Je perds mon intuition, je perds mon ancrage à la terre, je perds le putain de feu qui m’anime. Je m’éloigne chaque jour un peu plus de moi-même en surinvestissant cette mission d’être mère. 

Être mère ou ne pas être.
Subtil, c’est très subtil.
Et pendant ce temps-là à Veracruz : Kolo ne vit pas, elle survit.
Et pendant ce temps-là à Veracruz : Kolo n’agit pas, elle surréagit à l’extérieur.
Et pendant ce temps-là à Veracruz : Kolo ne dit pas, elle crie de l’intérieur.

Et puis il y a eu
Le jour où j’ai décidé d’arrêter de survivre.
Le jour où j’ai décidé de regarder la question de fond.
Le jour où j’ai décidé de repérer mon système pour agir dessus.

Merci.

Et toi alors, as-tu une mission de vie que tu surinvestis pour éviter de vivre ta putain de vie et traverser l’intense que ça implique dans sa simplicité et sa sincérité?

With Love from Kolo

J’adore les chevaux

J’adore les chevaux

MAIS TOUS CES CHEVAUX DANS MA TÊTE 

Tous ces chevaux, ils me fascinent.

Il y a ceux d’il y a longtemps, avant l’Antiquité, ces êtres de liberté, ils m’inspirent les grands espaces, le no-limit, le tout-est-possible, l’unité, cette fameuse quête du UN

Je les imagine galoper sur une plage de sable déserte..dans les steppes eurasiennes.
Le sauvage, le beau, le magnifique, le grand air, l’esthétique, le superbe, le puissant, le
grandiose, le respectable, le libre.

Il y a ceux à partir de l’Antiquité : ces êtres domestiqués, ils sont, parmi tous les animaux, ceux qui ont le plus marqué l’histoire et les progrès de l’humanité. [Des siècles durant, au service des êtres humains qui sélectionnent différentes races pour la traction, l’agriculture, la guerre ou la selle]
Le subordonné, le sacrifice, le soumis, le contraint, le dressé, le forcé, l’asservi, le docile, l’asujetti, le malléable, 

Je me sens souvent un peu des deux.
J’observe que je me suis beaucoup auto-domestiquée.

Se domestiquer c’est faire taire ce côté sauvage, planquer le superbe, annihiler la liberté, masquer le grandiose…. Et tout ça dans une énergie de peur, je dirai même de terreur au service de ma survie fantasmée. “Je ne pourrai jamais assumer ma puissance” alors vite vite je cherche le voile qui, à défaut de la réduire à néant, la rendra plus acceptable, moins affolante.

La contrainte, la soumission à un cadre, je peux l’aimer quand je l’ai choisi consciemment.

Parlons un peu oeillères.

FOCUS, allez mon canasson, FOCUS 

Regarde droit devant et vas-y, saute.

Y a les oeillères comme outil conscient de discipline, pourquoi pas? 

Seul hic pour le cheval : il ne l’a pas décidé.

Exemple basico basique dans la vie de l’humain que je suis : si je choisis de supprimer les notifications de mon smartphone pour être plus focus et améliorer ma productivité au travail, je choisis de me mettre consciemment des oeillères sur une réalité existante, sorte de modification de mon environnement à des fins qui nourrissent mon objectif.
C’est ok : je l’ai décidé consciemment.

Y a les oeillères pour ne pas voir la réalité en face, façon autruche : bof bof voire plutôt même méga naze
Ça je connais bien. Toutes ces fois où j’ai installé ces petites pièces de cuir pour réduire mon regard, pour ne pas voir 

soit la profonde merditude dans laquelle je m’installais

soit ma profonde puissance qui essayait de se frayer un chemin hors de sa prison dorée

Sur ce deuxième point c’est un peu comme si je dissimulais mon super pouvoir car je le voyais plus problématique que génial.

[Grâce à ses yeux placés sur les côtés, le cheval possède un champ de vision très large lui permettant, dans la nature, de voir un prédateur arriver de loin, même derrière lui. À l’état domestique, cette particularité devient un handicap pour les utilisateurs de chevaux nerveux ou peureux dans des environnements stressants, comme les villes bruyantes, les champs de bataille, et plus récemment les champs de course]

Encore l’histoire de ce cheval. 

Et en plus, toujours même hic pour lui : il ne l’a pas décidé.

Et moi alors? 

DOUBLE BUG.
Je suis affranchie et je décide toute seule* de masquer mes supers pouvoirs. Bizarre, vous avez dit…., non? 

*Toute seule enfin…. pas vraiment à vrai dire – rectification de taille car c’est un peu ça le souci, pas du tout seule même… , j’ai convoqué mon ego | ce que je pense que mon entourage va penser | ce que je pense que la société va juger | ce que je pense que mes défunts vont penser |. Et en fait, tout simplement quand on réunionite trop tous ensemble, qui c’est qui gagne? Bah jusqu’ici c’était pas souvent BIBI!
Allez ça y est, je peux vous le dire maintenant tranquillement :
Les gars… vous qui réunionitez trop souvent dans ma tête et qui pensez que bidule ou machin a pensé que peut-être il serait utile de penser que les penseurs devraient plus penser à ce que les non penseurs vont penser de ce qu”ils ont pensé. Bah pour une fois c’est net et préci pas de chici : prenez des longues vacances les gars, tranquillllle!

Je vous reconvoquerai si il y a une vraie situation de vie ou de mort qui se présente car là je gère, no soucaïe, bon vent à vous.

With Love from Kolo

Le clan VS l’individualité

Le clan VS l’individualité

LE CLAN / LE GROUPE / LA MIFA # [ L’ESPRIT LOYAL]

VS

L’INDIVIDUALITE / LA SPONTANETITE / L’AUTHENTICITE # [L’ESPRIT REBELLE]

 

Le Razana, tu connais? Exactement le Razanandrongobe sakalavae

Ce dino-croco découvert en 2006 dans le Nord de Madagascar.

Visiblement une machine à manger de la carne, broyer les os et les tendons pour ne laisser aucune trace de sa victime.

Au sommet de la chaîne alimentaire.

Les tyrannosaures de Jurassic Park n’ont qu’à bien se tenir !

Il fait peur ce Razana, il est au sommet, il peut tout détruire sur son passage. Ta spontanéité bisounours du câlin bisou bisou, t’oublies vite avec lui… Il est programmé pour ne pas être dérangé.

Je pense quand même qu’au fond il était sympa ce petiot mais paie ta pression quand tu domines la chaîne alimentaire, c’est pas rien, non? Il s’agit pas de faire dans les sentiments sinon tu tombes direct du piédestal. Tu redeviens lambda et plus personne ne te respecte.

Mais c’est vrai, t’es respecté pour quoi en fait, toi ô grand Razana? Pour ton parcours et comment t’es arrivé au sommet ou tout simplement parce que tu fais flipper tout le monde avec les codes que tu édictes?

 

Et sinon le Razana, tu connais? Exactement les Razana : un sujet malgacho-malgache.

Cet ancêtre, ces ancêtres qui nous protègent, qui veillent sur nous, qui nous accompagnent, qui nous guident, qui viennent nous rendent visite pour nous aiguiller, qui nous regardent nous débrouiller comme on peut en tant qu’humain de passage sur la terre.

Ceux-là, ce sont ceux qui sont ultra respectés à Madagascar. [Ils sont ceux qui ont accompli diverses actions et qui ont atteint l’âge adulte, la vieillesse, mais surtout qui se trouvent dans l’autre vie]*

Je dirai même plus : ils sont adoubés, acclamés, adulés, admirés, louangés, flattés, courtisés et puis aussi ils sont craints…… mais vraiment craints

TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS CRAINTS

C’est là où très bizarrement, ils peuvent se rapprocher du Razana décrit juste avant. Notre dino-croco qui fait pâlir le T-Rex. Ils sont tellement craints qu’ils peuvent paralyser nos actions.

Je m’en remets à mon cas particulier. Ces Razana, je les ai sollicité tant de fois pour leur bienveillance, pour leur amour, pour leur savoir, pour leur discernement sur ma vie. Je me me suis connectée à eux tant de fois à travers des rituels pour avancer, pour valider mes choix, pour être sûre que j’avais emprunté le bon chemin.

WOAOUH [PRISE DE CONSCIENCE]

Mais en fait à qui je parlais vraiment?

Aujourd’hui pour toutes ces questions, j’ai décidé de solliciter Kolotiana, ouais j’ai décidé de ME consulter plutôt que quelqu’un d’autre. Oui MOI !!!

Que raconte mon bidou ? Que racontent mes tripes? Que raconte mon feu quand je pense à ça? Il est en mode allumette rikiki ou en mode chalumeau?

La belle flamme bien puissante et pérenne, c’est mon vrai désir, je la vois, je la sublime en passant à l’action seule, en suivant cette petite voix à qui j’ai fermé le clapet trop souvent pour appartenir au CLAN, au GROUPE, à la MIFA [ pour être LOYALE] Aujourd’hui je scrute de près et exprime mon INDIVIDUALITE, ma SPONTANEITE, mon AUTHENTICITE [pour être MOI] !

Mes Razana, je vous aime, je vous respecte, je continue à vous admirer, à vous remercier, à reconnaître avec amour et gratitude les traditions de ma terre natale [NB : d’ailleurs j’aime bien mes petits rituels, je continuerai] mais par contre maintenant je suis souveraine de mes décisions, je prends l’entière responsabilité de ma vie et j’affirme mon individualité.

Une pensée tendre et puissante, une immense gratitude et un merci profond chargé de tout l’amour que j’ai pour mon “Razana be” alias mon papounet, déjà un an que tu as franchi la porte de l’autre vie.

ET C’EST LA QUE LE [VS] DU TITRE DE MON ARTICLE DEVIENT [AVEC] car oui être dans le clan et être soi c’est pas incompatible et c’est même jouissif. ❤️ Merci Pierre Mézières !

{Tu peux aller voir autre chose chez moi petit ego maintenant car ce domaine j’en reprends les rennes et tout va bien se passer, je ne vais pas mourir. Cimer!}

With Love from Kolo

 

Et sinon le Razana, tu connais? Exactement les Razana : un sujet malgacho-malgache.

Cet ancêtre, ces ancêtres qui nous protègent, qui veillent sur nous, qui nous accompagnent, qui nous guident, qui viennent nous rendent visite pour nous aiguiller, qui nous regardent nous débrouiller comme on peut en tant qu’humain de passage sur la terre.

Ceux-là, ce sont ceux qui sont ultra respectés à Madagascar. [Ils sont ceux qui ont accompli diverses actions et qui ont atteint l’âge adulte, la vieillesse, mais surtout qui se trouvent dans l’autre vie]*

Je dirai même plus : ils sont adoubés, acclamés, adulés, admirés, louangés, flattés, courtisés et puis aussi ils sont craints…… mais vraiment craints

TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS CRAINTS

C’est là où très bizarrement, ils peuvent se rapprocher du Razana décrit juste avant. Notre dino-croco qui fait pâlir le T-Rex. Ils sont tellement craints qu’ils peuvent paralyser nos actions.

Je m’en remets à mon cas particulier. Ces Razana, je les ai sollicité tant de fois pour leur bienveillance, pour leur amour, pour leur savoir, pour leur discernement sur ma vie. Je me me suis connectée à eux tant de fois à travers des rituels pour avancer, pour valider mes choix, pour être sûre que j’avais emprunté le bon chemin.

WOAOUH [PRISE DE CONSCIENCE]

Mais en fait à qui je parlais vraiment?

Aujourd’hui pour toutes ces questions, j’ai décidé de solliciter Kolotiana, ouais j’ai décidé de ME consulter plutôt que quelqu’un d’autre. Oui MOI !!!

Que raconte mon bidou ? Que racontent mes tripes? Que raconte mon feu quand je pense à ça? Il est en mode allumette rikiki ou en mode chalumeau?

La belle flamme bien puissante et pérenne, c’est mon vrai désir, je la vois, je la sublime en passant à l’action seule, en suivant cette petite voix à qui j’ai fermé le clapet trop souvent pour appartenir au CLAN, au GROUPE, à la MIFA [ pour être LOYALE] Aujourd’hui je scrute de près et exprime mon INDIVIDUALITE, ma SPONTANEITE, mon AUTHENTICITE [pour être MOI] !

Mes Razana, je vous aime, je vous respecte, je continue à vous admirer, à vous remercier, à reconnaître avec amour et gratitude les traditions de ma terre natale [NB : d’ailleurs j’aime bien mes petits rituels, je continuerai] mais par contre maintenant je suis souveraine de mes décisions, je prends l’entière responsabilité de ma vie et j’affirme mon individualité.

Une pensée tendre et puissante, une immense gratitude et un merci profond chargé de tout l’amour que j’ai pour mon “Razana be” alias mon papounet, déjà un an que tu as franchi la porte de l’autre vie.

ET C’EST LA QUE LE [VS] DU TITRE DE MON ARTICLE DEVIENT [AVEC] car oui être dans le clan et être soi c’est pas incompatible et c’est même jouissif. ❤️ Merci Pierre Mézières !

{Tu peux aller voir autre chose chez moi petit ego maintenant car ce domaine j’en reprends les rennes et tout va bien se passer, je ne vais pas mourir. Cimer!}

With Love from Kolo